bilan



si vous êtes sur une belle route bien droite bien dégagée, en sortie d'agglomération... MÉFI !



Autre exemple :


  

c'est LÀ qu'ils se mettront



IMPÉRATIVEMENT demander les clichés de l'infraction, c'est gratuit.


si la "vitesse retenue" est très proche de la vitesse limite (1 ou 2 km/h)


vérifier l'angle entre l’axe du faisceau d’émission et la trajectoire des véhicules qui doit être de 25 °
véhicule pris sous un angle de 25° photo de mon véhicule
la différence d'angle est visible à l'oeil nu !

en conclusion...

  1. le positionnnnement du radar pour "faire du chiffre" parait évident :
    • longue ligne droite en sortie d'une petite commune (si la sécurité était la motivation, le radar aurait été placé pour flasher dans l'autre sens, en entrée de la commune)
    • radar positionné avec un angle inférieur aux préconisations ce qui majore sensiblement la vitesse mesurée
  2. le fait que les opérateurs du CACIR aient validé ces clichés montre bien que tout est fait pour "encaisser un maximum" en espérant que le contrevenant ne demandera pas les clichés
  3. pour décourager les justiciables, les contestations se font par LRAR et il faut faire l'avance d'une somme équivalente au montant de l'amende forfaitaire.
  4. l'OMP de Rennes aurait dû valider ma contestation et annuler la contravention, NON ! il renvoie la décision devant la juridiction de proximité, toujours dans l'espoir que le contrevenant se fatiguera et abandonnera la procédure

un rapport du Sénat d'octobre 2013 : L'innovation au service de la gestion des amendes : contrôle budgétaire de l'ANTAI